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Les Sharks craquent au finish (78-72)

Les Sharks craquent au finish (78-72)

Alors qu’ils avaient le match en main (51-60), les Sharks ont craqué dans l’ultime quart-temps et se sont inclinés 72-78 sur le parquet d’Orléans.

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Dans un début de rencontre où les attaques prennent largement le pas sur les défenses, Orléans réussit à faire le premier break sous la houlette d’un David Noel en feu (13 points à 100% aux tirs) et qui inscrit deux paniers coup sur coup (15-10 à la 8ème minute). Mais Blue permet aux Sharks de revenir avant que les deux équipes ne se séparent à la fin du premier acte sur un léger avantage pour Orléans (21-20).

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Ce même Blue qui va faire défaut en début de second quart, moment que choisissent les Orléanais pour accélérer et prendre 7 points d’avance (40-33 à la 19ème minute). Mais ni Blue ni Mitchell ne laissent faire et les Sharks reviennent à 3 petits points de retard à la pause (40-37). Des Sharks que l’on sent prêts à saisir toutes occasions qui leur seraient offertes pour imposer leur jeu intérieur. Et comme Orléans a un coup de moins bien, les Sharks en profitent pour prendre l’avantage (42-44), puis 47-54 grâce à deux paniers à trois points de Tim Blue.

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Les Sharks ont fait le trou à l’aube de dix dernières minutes qu’il faut désormais gérer (51-60). Et comme Orléans ne semble pas décidé à retrouver son adresse, les Sharks peuvent voir venir (54-64 à la 33ème minute). Mais les errements offensifs des Sharks (61-64 à la 35ème minute) permettent à Orléans de survivre et même de passer devant. Les Sharks ont laissé passer leur chance et par la faute d’un dernier quart-temps où ils ont encaissé un 27 à 12, s’inclinent 78 à 72.

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Julien Espinosa, coach des Sharks: « Je suis révolté par ce qui s’est passé dans le quatrième quart-temps. Certains joueurs veulent tout faire. On se voit trop beau et les coqs sont de sortie. Du coup, avec cette mentalité, ça ne fonctionne pas. On règlera notre linge sale en famille et je ne vais pas citer de joueur ici. »

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