Retrouvez l’interview de Janny Plessis, Rédactrice en Chef de Sophia / Metropole Mag, parue dans le magazine Soir de Match ci dessous:
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Janny Plessis, pourriez-vous vous présenter et nous parler de votre magazine Sophia / Metropole Mag ?
Je suis journaliste depuis une vingtaine d’années et j’ai créé il y a 3 ans et demi le magazine Sophia / Métropole Mag. C’est un magazine dense d’environ 140 pages avec une centaine d’articles. Il est le magazine officiel de Sophia Antipolis. La ligne éditoriale est très appréciée car elle nous permet d’aborder des domaines variés tels que l’économie, le sport, la culture et la gastronomie de manière optimiste. Nous avons environ 27 000 à 30 000 lecteurs par parution. Ce magazine est distribué gratuitement sur la Côte d’Azur (530 points de distribution) et il est bilingue.
Il a aussi la particularité de se lire recto-verso: d’une part il s’intéresse à Sophia Antipolis, Cannes, soit l’Ouest du département et, d’autre part, côté verso, nous traitons de sujets concernant la métropole Nice Côte d’Azur et son Eco Vallée.
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Depuis quand êtes-vous partenaire des Sharks ? Appréciez-vous ce partenariat ?
Frédéric Jouve est venu me trouver pour que nous devenions partenaires des Sharks et j’en ai été très flattée.
J’apprécie ce partenariat car je suis devenue une vraie passionnée de ce sport ! Je suis amoureuse de Tim Blue (sportivement bien sûr !). J’apprécie de venir le voir jouer et quand il n’est pas sur le terrain, je suis déçue !
Plus généralement, j’aime venir au match et tous les clients que j’invite sont unanimes: ils trouvent le spectacle extraordinaire avec une très bonne ambiance. Le moment partagé avec les partenaires et le repas sont très conviviaux.
Je suis aussi les Sharks dans leurs actions extérieures comme leur venue au Musée National du Sport et j’écris avec plaisir un petit article dans le magazine au sujet de ces événements hors du terrain.
Pour résumer : ce partenariat est agréable et efficace.
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Qu’affectionnez-vous dans notre sport ? Et dans notre club ?
À la base, je ne suis pas trop sportive mais j’aime les valeurs du sport. Ce sont les mêmes que l’on doit avoir dans une entreprise.
J’ai rencontré Julien Espinosa et nous avons fait un deal. À chaque fois que je le vois, je lui pose trois questions sur les stratégies, les règles de jeu, etc. Grâce à lui, je connais de mieux en mieux le basket.
J’ai aussi un excellent relationnel avec Frédéric Jouve. Nos rapports sont très amicaux. Nous avons une volonté commune de réaliser des choses ensemble. Ce n’est pas du business uniquement pour du business et c’est très appréciable.
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Pensez-vous que l’implantation de l’Azurarena à Sophia apporte une valeur ajoutée à cette technopole ? Pourquoi ?
Absolument, c’est une très grande valeur ajoutée. Pierre Laffite voulait faire de Sophia Antipolis, la Florence du 21ème siècle. C’est à dire une technopole composée d’activités scientifiques mais aussi culturelles et sportives. Maintenant, avec l’Azurarena, nous avons un réel succès sportif. Toute cette zone est en pleine expansion avec le futur bus HQS (haute qualité de service), des logements et un développement du secteur tertiaire. Tout le monde est donc fier de cette salle qui abrite un club en train de s’équilibrer au plus haut niveau français et dont la notoriété est historique. Cela apporte une visibilité différente à la technopole et puis on a Tim Blue (rires).
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Si aujourd’hui vous deviez écrire un article sur notre équipe dans votre magazine, que diriez-vous ?
J’aimerais écrire que nous souhaitons à cette équipe de faire une bonne fin de saison et pourquoi pas d’accrocher les Playoffs. Dans tous les cas, les Sharks sont en mesure de gagner le plus de matchs possible à domicile. Nous souhaitons beaucoup de succès non seulement à cette équipe mais aussi à tout le staff. Ce club, sympathique, mérite de retrouver le plus haut niveau !
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